Le squat

Lisa a proximité de Big ne le lache pas d'une semelle.
Elle scrute furtivement tout les coins et recoinc sombre du couloir. Comme si quelque chose pouvait arriver de N'importe ou , N'importe quand.

Lisa avait peur dans ce couloir. Seule elle n'y serait surement pas allé.

A coté du capitainre elle pouvait apercevoir le local technique 24 ou était brassé une bonne partie de l'infrastructure d'informatique de l'étage.
Elle demanda à Big si il voulait bien l'attendre un peu . Elle devait vérifier un truc dans ce local... ?

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Local technique 24 (couloir)

"Pas de problèmes mais fais vite !"

Putain,pourquoi les gonzesses trouvent toujours des moments pareils pour ralentir le mouvement. Merde ils ont quand même un mec qui est entrain de crever sur ses genoux.

"Local technique de mes couilles ! J'ai faim moi !"

Il l'attend à la sortie en tappotant nerveusement son accoudoirs droit de ses doigts.

Après réception du rat crevé lancé par la gamine, le capitaine se retourne un moment,et aperçois ce lourdeau de Big qui attend, seul dans son fauteuil, un semi cadavre sur les genoux. Celui là il est pas net, il cache quelque chose... L'Immonde sourit d'un air des moins engageants et se dirige vers le fauteuil du mastard.

"Et ben alors, bibendum... Guhuhuhuuhéhhéhhéhé... Qu'est ce tu viens nous faire dans les environs hein?? Guhuaahhahaa... T'as perdu ta portion d'gras d'la journée??"

Le capitaine commence à jouer avec le fauteuil du pauvre gros, tripotant la télécommande et balançant de temps en temps un coup de pied dans les roues. Soudain, au détour d'un bourrelet, l'Affreux, qui est dégueulasse mais pas dupe, aperçoit une forme noire metallique...

"Mais qu'est ce que tu nous caches là, Jimbo? Montre donc de plus près à ton vieux copain guhuhuhuuhuu..."

L'ignoble Spencer tend sa main droite dans un pli de graisse de Big, tout en lui mettant des petites claques de la main gauche.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 17/10/2006

Tarek n'apprécie pas du tout l'agitation qui règne désormais à proximité de son logis. Si il a choisi de s'installer ici, c'est avant tout pour échapper à ses semblables, à leurs regards, à leurs murmures, à leurs sales tronches..
Quelque chose rôde dans ces couloirs, Tarek l'a toujours su, partagé entre peur et fascination envers cette "malédiction" qui rampe dans l'ombre. Un esprit malin, oui, MAUDIT, nous sommes tous MAUDIT... Il n'a pas de visage, il n'est pas palpable, on ne le voit pas.. On l'entend parfois, il est tout puissant, il est le maître des lieux..

Tarek n'est ici qu'un modeste clandestin, un invité. Il profite des rumeurs qui éloignent les curieux des caches obscures, ainsi, lui peut y vivre paisiblement. Pourtant, aujourd'hui la curiosité est la plus forte semble t'il. Le refuge du junkie est devenu plus populaire que la plage de St Tropez ne le fut en son temps.

Tarek n'a pas donné suite aux réclamations de la gamine capricieuse, pas plus d'ailleurs qu'il n'a salué l'arrivée du vieux forban ou des autres.
Non, excédé par la présence de tout ce monde, l'homme se recule dans l'ombre en silence et discrètement il rassemble ses affaires. Rapidement, il attrape sa caisse à outil, sa couverture, et quelques bibelots sans grande valeurs mais néanmoins inestimables à ses yeux. Puis, il se tire en quête d'une autre cachette potentielle.

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la salle de sport

Big ne prête pas attention à Tarek. Bien trop occupé avec cette grosse brute de captain.
Il est entrain de lui taper la joue et son autre main se rapproche dangereusement de son flingue. Son précieux flingue bordel ! La bouche puante du capitaine est a cinq centimètres de la sienne. Puah il pu du bec le cochon ! C'est un combat de porc et Big n'est jamais perdant à ce genre de jeu !

"Dégages de la connard !"

Personnes ne connaît cette facette de lui. Même Big. En fait c'est la beauté qui le perturbe et face au capitaine,surtout avec la macro auquel il a droit en ce moment, il n'y a aucune beauté. Alors il n'a vraiment pas peur de ce porc ! Il lui postillone de plus belle dans la tronche.

"T'as entendu dé..dégages de là, pirates de mes couilles."

Il lui attrape le bras qui le gifle et chope le pistolet de l'autre main. Dommage il l'a attrapé par le canon plein de merde. Il en a plein la main. Oh putain de merde comment se sortir de ce merdier. Lui le gros nul qui n'a jamais rien su faire. Allez il faut tenter le tout pour le tout. Il change très vite le pistolet de main pour avoir en joue le pirate et dans le même coup lui assène une mandale avec sa main souillée de caca.*Tiens prend ça ! Méchant pirate ! L'agent Big, c'est le meilleur !*

*BANG*

"RaaaaAAaAAAaAaAAaAAAAaaaarrrGGgGhhh !!!"

Le coup est parti tout seul,la balle est rentrée dans le front de l'infâme; et vu le gabarit de son cerveau, il y'avait peu de chance qu'elle touche l'organe vital, mais apparemment... Sur ce coup là le capitaine n'a pas eu de chance. Voila donc justement ce fameux cerveau en question, éparpillé sur le mur; l'Infâme à toujours les yeux ouverts, il tombe sur les gros genoux de Mr Big.

Le capitaine B n'est plus...

Et merde la balle est partie toute seule. Comment cette putain de sécurité -t-elle pu s'enlever toute seule ? [...]Big semble soucieux et pris dans une réflexion intense, le stanley sur les genoux, le capitaine sur Stanley ! A moins que ça soit lui qui l'ait enlevé alors qu'elle y était déjà ! Ca voudrait dire qu'il a passé tout ce temps avec un flingue dans le cul qui pouvait tirer à n'importe quel moment ! Ouh putain de dieux ! Et pis c'est pas tout ça ! Il faut aller à l'infirmerie.

"Lisa ! Lisa magne toi le cul !"

Ah putain ce flingue ! Quelle puissance. big est entrain de jouir ! Les femmes, la drogue, le meurtre ! Il va devenir un vrai gros caïd !! Enfin c'est ce qu'il croit ! En peu de temps il a déjà tué quelqu'un et a failli se tuer lui même. Quel con ce Big !

"Putain de dieux Lisa magne toi le cul on se bouge à l'infirmerie ! J'ai deux macabés et des grosses responsabilité moaw !"

Lisa se ramène vite fait apres avoir entendu le coup de feu.

Merde!! Big, qu'est-ce que tu fous ? Tu veux te faire des couvertures pour l'hiver ?

Puis elle lui explique qu'elle a besoin d'aide pour faire sauter le cadenas du local technique 24.

Ecoute big tu m'aides, je t'aide. Alors t'veux bien dit ?

HIIIIIIN ! HIIIIIIN ! HIIIIIIIN !
De gros gyrophares rouges se mettent à clignotter dans chaque pièce de l'Abri.

ALERTE ! ALERTE !
UN INCENDIE A ETE DECLARE DANS L'ABRI. NE PANIQUEZ PAS ET PROCEDEZ EN ORDRE VERS LA SORTIE. L'EXTERIEUR AYANT ETE JUGE VIABLE A 61%, LES PORTES VONT ETRE DEVEROUILLEES EN VUE DE L'EVACUATION.

PROCEDEZ DANS LE CALME VERS LA SORTIE. NE PANIQUEZ PAS, SOURIEZ, ET RESTEZ GALANTS.

NE PANIQUEZ PAS.

NE PANIQUEZ PAS.

NE PANIQUEZ PAS.

Et merde voilà autre chose : la sonnerie d'alarme qui retenti.

"Que dal ! Ca attendra, on se barre à l'infirmerie ! Le doc sera quoi faire. T'as qu'à rester là si t'en as envie poufiace !"

Big tire le capitaine un peu plus sur ses genoux et se barre en direction de l'infirmerie en mettant les gaz. Les pieds du pirate traînent par terre et ce qui reste de sa cervelle est venu souillé le grand draps du gros. Rajoutez à cela la merde et vous obtiendrez un Mr Big ! Il ne prend même pas la peine de regarder si Lisa le suit. Le fauteuil penne un peu avec tout ce poids qui est sur lui, et les accoudoirs sont plus que jamais prêts à craquer.

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Infirmerie

Lisa reste la ...

Paniqué plus oumoins par l'endroit... .
"C'est quoi cette connerie d'alarme ?"se dit t'elle. "On va encore me demander de rebooter le systeme!"

regardant les alentours elle aperçoit la masse du captain.Avec ça elle arriverait a faire sauter cette putain de serrure...

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[url] https://underground.forum-actif.eu/viewtopic.forum?t=72 [/url] Le local technique 24

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

la gamine se met a hurler, tout d'abord un coup de feu puis une alamre, elle panique et se met a courire, s'enfoncer dans le conduit....

La petite se rue dans la seule direction qui s'offre à elle: droit devant. Autour d'elle, les parois de fer glacé défilent, elle passe sans les voir de nombreux embranchements, et s'enfonce toujours plus loin dans le systeme de ventilation.

Elle finit par arreter sa course folle, essouflée, épuisée. Elle se pose un moment, mais le conduit est decidement trop étroit pour lui permettre de s'asseoir. Elle s'allonge donc pour souffler.

C'est alors qu'elle se rend compte que le contact de la paroi sur laquelle elle se repose n'est pas celui, glacé, du metal. Dans sa fuite en avant, elle n'y avait pas prété attention jusque la, mais la peau de son visage repose sur une pelicule de liquide poisseux et fétide. Elle tente de relever la tete, mais la substance reste collée à sa peau, à ses cheuveux, formant de longs fils qui la relient aux parois. Quelque soit direction ou elle va, le liquide recouvre tout. Ses mains, ses pieds, collent aux murs et au sol. Quand elle trébuche, c'est son visage, sa robe, qui s'engluent et qu'elle a un mal fou à désempetrer.

Clarisse lutte, mais le combat est inégal, au contraire, plus elle s'epuise, plus la substance lui semble collante.

La petite fille finit par s'ecrouler sans force contre le piege. Seule dans le noir, engluée de tout son long par cette poisse qui lui recouvre les cheuveux et le corps, il lui reste juste assez d'energe pour respirer. Elle s'est aventuré si loin dans les conduits, dans cet espace exigu et noir comme une tombe! Il lui semble que dans cet espace, personne ne l'entendra crier.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

paralysée, la petite sanglote. elle croit aprecevoir autour d'elle, tout aussi englué, des petis rats et des insectes....au moins elle mouera en famille.

regardant autour d'elle, du mieux qu'elle peut, elle se met a appeller. si cette glue est la, quelqu'un ou quelque chose doit etre la.

le petite n'essaie même pas d'imaginer que cette chose puisse être dangereuse, elle verra le moment venu, elle l'appelle en gémissant. premiere urgence, se decoller de cette poisse, deuxieme urgance, survivre.

La cafét

Le fauteuil arrive à pleine vitesse sur l'ancien squat de Tarek Jeaker, tandis que Big explique au barbier de quelle manière Linda s'y est prise pour lui faire son shampoing. Le Junkie n'est plus ici mais il reste encore quelques morceaux du Capitaine Burnes sur les murs. Soudain un petit bruit sourd retenti dans le couloir. Les doigts boudinés penchent le stick vers l'arrière et leur moyen de locomotion s'immobilise au milieu du couloir sombre. Ils écoutent attentivement, scrutant les lieux à l'aveuglette.

Barbier de l'Abri 6 Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 25/10/2006

Le barbier regarde autour de lui, il scrute le plafond, remarque un large conduit ouvert contre le mur. Il descend du fauteuil et s'approche de ce conduit, se dresse sur la pointe des pieds et jette un oeil dedans...

"... Bon Dieu Big... Ca pue plus que sous tes plis là dedans... Pas de doute, le Spencer y à enfoui un truc..."

Herman semble calculer quelque chose, en regardant dans les environs...

"Ouais... Y'a bien la cafet au dessus... Me demande pas comment je le sais, je le sens..."

Le trou béant attise de plus en plus la curiosité de l'intègre personnage, foutre ! Y'a sûrement un truc là dedans...

"... Bon j'arriverais pas à passer par là... Toi encore moins... C'est bien c'que je dis, faut faire sauter l'étage du dessus mon Gros. On va pas jouer dans la dentelle ! Linda... Où est Linda?"

"J'sais pas "

Big réfléchie, faut dire qu'il la fait travailler sa cervelle en ce moment !

"Elle doit pas être bien loin cette petite coquine."

Le barbier est déjà entrain de monter à son poste qu'ils sont déjà repartis à la recherche de la petite scientifique.

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Couloirs du troisième

Un bruit. La petite fille cesse de respirer pour pouvoir mieux ecouter. Le bruit de son coeur est encore trop fort, elle a du mal à discerner ce bruit, un frottement, ou une respiration ? Puis, d'un coup, un cliquetis. ¨Puis un deuxieme, et toute une suite de plus en plus proche. On vient. La respiration est bien presente cette fois, bien plus profonde et rauque que celle de Clarisse, elle arrive du coté de ses pieds.

Elle aimerait bien regarder, mais sa tete engluée n'a aucune mobilité. De toute facon, dans le noir complet, que voir? Clarrisse se raidit, ne pas savoir ce qui la rejoint est insoutenable, elle n'ose pas crier ou tenter quelque chose, paralysée, elle attend, quand tout à coup, c'est la. Le bruit s'est arreté juste au dessus d'elle.

Curieusement, Clarrisse ne resent pas la presence chaleureuse que degagent les mammiferes, cette chaleur corporelle des humains et des rats. Au contraire, elle ressent un souffle glacé sur son visage. Paniquée, elle commence à sangloter alors que viennent se meler a ses larmes des filets de bave. La bouche de la chose est toute proche. Une langue visqueuse vient caresser lentement son visage, alors qu'elle sent sa propre urine s'echapper d'entre ses cuisses. Clarisse s'evanouit.

...

Elle se reveille toujours engluée. Elle a plus d'espace, son corps est toujours immobilisé par la glue mais en etoile, ce qui lui indique qu'elle n'est plus dans les etroits conduits. L'odeur de son urine sur sa robe lui assaille les narines.

Autours d'elle, des courants d'air, les bruits reguliers du coeur de l'abri, mais toujours pas la moindre lumiere.

Combien de temps est elle resté comme ca ?

La chose est aupres d'elle, pas loin, elle le sent.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

la petite se reveille douloureusement. ses jambes sont lourdes, elle sent que le sang ne passe plus dedans.

des bruits d'humidité, des odeurs de mort et de moisi....

quelque chose aproche d'elle, elle sent une sorte de peau trés étrange. la chose la frole.

puis soudainement elle se trouve nez a nez avec quelque chose de gluant, verdatre, et , parmis toutes ses ensations.....deux yeux! la chose la regarde...

La chose pose sur elle un regard que Clarisse a du mal à définir. Pas evident de percevoir une expression sur ce facies qui n'a rien d'humain. Elle frissone neanmoins lorsque la langue gluante du monstre lui caresse le visage, y laissant une bave poisseuse et froide.

Clarisse sent entre ses jambes quelque chose qui lui frole la peau des cuisses. Elle redresse la tete autant que possible pour voir ce que c'est et le regrette aussitot: entre les jambes de la chose se trouve un enorme vit, long et couvert de chitine articulée. Au bout, ce qui ressemble à une bouche, avec ses machoires et ses dents luisantes comme du metal, à l'aspect tranchant comme des rasoirs.

Les intentions de la chose semble maintenant claire, comme tout ces messieurs qui venaient embeter mademoiselle Niouniou.

L'engin penetre entre les cuisses de la gamine, lui faisant atrocement mal. Elle veut resister, bloquer de toutes ses forces mais la chose est plus forte, et force le passage en ne lui faisant que plus mal. Clarisse pleure du sang coule entre ses cuisses alors que la chose s'enfonce plus loin dans son ventre, toujours plus loin avec cette douleur qui irradie, et s'empare du corps tout entier de la gamine.

Puis l'engin arrete sa progression. Il ne bouge plus mais se dilate, infligeant à Clarisse une douleur encore plus insupportable. Quelque chose de volumineux est en train d'etre deposé dans son corps, elle sent que cela s'installe et lui en vole comme la propriété. Apres plusieurs minutes de cette efroyable torture, la chose se retire enfin, non sans que cette derniere operation ne soit encore plus douloureuse que toutes les precedentes.

Son affaire faite, la chose e pose dans un coin, semble rester immobile un moment, puis repart par un conduit, laissant Clarisse en pleur, en souffrance et seule.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

hrp: beuuuarrrrrk!!!!!!!!!

et bien voila! ça faisait longtemps! encore une fois un connard la fourre! ça a commencé quand elle avait 3ans. elle avait bien failli mourire cette fois la.

depuis elle avait apris a ne rien laisser de precieux dans sa chatte car elle avait compris qu'elle ne pourrais jamais empecher un connard d'y rentrer.

mais la c'était différent. c'était doulureux et sale, encore plus que d'habitude....

son ame se detache de son corps. elle se voit d'en haut, completement englué avec cette chose se détachant de son corps et partire. elle se voit se vider de son sang.

bon et maintenant? il va qund même la liberer maintenant! putain il espere quand même pas lui faire un mômoe ou alors il a rien piger a la vie humaine.

puis soudain la petite réalise qu'elle ne controle plus son âme, celle ci s'éloigne de plus en plus....

La chose la laisse ainsi seule pendant quelques heures. BIzarrement, Clarrisse ne meurt pas. Qulque chose en elle de nouveau semble s'atteler à la maintenir en vie, calme sa douleur et appaise ses maux. Aussi incroyable que cela puise paraitre, elle se sent mieux maintenant que c'est la.

Quand la chose revient, elle ammene un corps avec elle.Encre un cadavre qu'elle a du trouver dans un coin du bunker. Dans le noir, elle 'emploie a en retirer des morceaux pour faire des petites bouchées, puis elle essaye de les faire avaler à Clarisse.

Clarisse, elle, reste circonspecte devant cette viande: elle a reconnu l'odeur de Mademoiselle Niouniou.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

aprés avoir avalé ses morceaux de barbak sous peine de mort (craignait elle) la petite s'était endormi. lorsqu'elle se reveilla elle n'était plus engluée mais ses bras et ses jambes la faisait enormément soufrir. elle avait du passer plusieurs jours dans cette position.

l'endroit où elle se trouvait était étrange. elle inspecta les lieux un moment en restant a genou, ses jambes refusaient encore de la porter. de terribles crampes dans son ventre se faisaient ressentir.

la présence était la quelque part, elle le savait.
elle retira sa robe nauséabonde (robe ou plutot pull XXL propriété de Vault). elle inspecta son entrejambe lui aussi trés odorant.
elle repensa a son premier viol. son vagin avait été dechiré, elle avait été soignée d'urgences, se vidant de son sang. on lui avait fait des points de souture.

quelque mois aprés ce fut un nouveau fléau qui s'abatti sur son pauvre sexe. une serie de sistite dites traumatogenes eclaterent dans ses entrailles. elle urinait alors du sang.

Freud disait que c'était a l'age de trois ans que les bases de la génitalité se posaient. ba pour elle, ses bases furent douloureuses.

inspectant son entrejambe, elle tenta de verifier qu'elle n'était pas de nouveau ouverte. mais il y avait trop de sang et trop de crasse pour y voir quoique ce soit. l'angoisse des infections urinaires "traumatogene" et des infections des reins dites "pilonephrites" lui revint. mais tant qu'elle n'avait pas d'eau pour se laver, elle ne serait pas rassurée.

La chose n'est pas la. Elle a du partir en quete de nourriture pour sa protégée. Dans un coin, les restes du cadavre de mademiselle gnougnou, défigurée et dépecée, méconnaissables, sont englués solidement dans toujours la meme merde visqueuse.

Comment Clarisse avait elle pu se liberer ? Il semblait etrange que la chose l'ai tellement sous estimé qu'elle n'ai pas fait attention à l'avoir bien engluée, mais c'etait l'explication la plus plausible. Clarrisse etait enfin libre.

Bizarrement ses blessures ne lui faisaient pas si mal. En y repensant, un tel traitement aurait du la tuer, mais il n'en etait rien, elle pouvait marcher et se lever sans autre douleur que celle de ses muscles ankylosés. Peut etre avait elle révé cette scene atroce, mais comment expliquer le sang séché sur ses cuisses ?

Autours d'elle, seulement les tenebres et le bruit de la ventilation. Tout aa coup, lointain mais distinct, elle percoit vennat d'un conduit sur sa droite un bruit qu'elle n'a que trop entendu: le frottement des griffes de la chose sur le metal des conduits.

Citoyen de l'abri 6 Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 15/10/2006

Clarisse reste muette, paralysée, subjuguée.....

le monde disparait autour d'elle, elle reste seule avec cette chose.

tremblante, la chose s'aproche d'elle. sans vraiment réflechir, Clarisse prend un os qui traine par terre et le lance a la figure de la bête qui retorque violemment surement de façon automatique.
la petite se retrouve projetée contre le mur, contre un cadavre collé a ce mur. elle se met a pleurer.

le silence reigne a part les sanglotement, les deux personnages ne bouge plus, se regardent....

un rat passe......

Le visage de la chose à quelques centimetres du sien,Clarisse est paralysée par la vision de ces crocs enormes aux reflets metaliques. Sa vessie lui echappe et elle se fait pipi dessus à nouveau. Apres un interminable moment à sentir la pisse lui couler le long des jambes et à attendre que la créature se décide à faire quelque chose, Clarisse voit enfin le monstre s'eloigner d'elle, et se diriger vers les restes de Mlle gnougnou pour s'attaquer aux visceres mascérés, sans plus lui preter attention.

C'est a ce moment la aussi que Clarisse réalise, sans se l'expliquer pour autant, qu'elle voit dans le noir, elle qui depuis le debut de son expedition avait le sentiment d'etre au fond d'un pot de goudron.

La chose semble ne plus s'interesser à elle, ou du moins, ne pas vouloir lui faire de mal, pour le moment.